POLITIQUE

Tirs de trahison à Tindouf : Les milices du Polisario sèment la terreur après la fuite de trois recrues vers le Maroc

Les camps de Tindouf, notamment dans la région de Laâyoune, ont été le théâtre vendredi soir de nouveaux épisodes de violence armée, lorsque les milices du Front Polisario séparatiste ont ouvert le feu de manière aléatoire dans les zones de Guelta et Boukraâ, sur ordre direct de leurs dirigeants.

Selon des sources fiables, cette attaque sanglante n’était nullement fortuite, mais représentait une réaction vindicative après la fuite de trois jeunes enrôlés qui ont réussi à échapper aux griffes des milices et à regagner leur patrie, le Royaume du Maroc.

Dans ce contexte, les éléments du Polisario ont semé la terreur parmi les habitants, cherchant à instaurer un climat de peur et de menace pour dissuader toute autre tentative de fuite du cauchemar des camps.

Des rapports locaux confirment qu’un civil a été blessé par deux balles lors de l’attaque, déclenchant de violents affrontements entre la population et les éléments armés.

Pendant que la peur s’installait dans les camps, les milices du Polisario, prétendant faussement défendre les droits des habitants, sont restées spectatrices, n’intervenant pas pour protéger les civils ni pour contenir l’escalade de la violence.

Les mêmes sources ont souligné que cet événement n’est qu’un épisode supplémentaire dans la série de crimes et de violations graves commises par le Front séparatiste à l’encontre des personnes détenues, en particulier contre ceux qui osent réclamer leur droit à la liberté ou à retourner dans leur pays.

Ces sources ont également appelé la communauté internationale à agir sans délai, imputant aux Nations Unies et aux organisations de défense des droits de l’homme la responsabilité d’ouvrir une enquête transparente et exhaustive sur ces violations persistantes, et de tenir les responsables pour compte.

Ces tristes événements rappellent une fois de plus que l’unique espoir pour les enfants des camps de Tindouf de vivre dignement et librement réside dans leur retour au sein de leur patrie, le Maroc, loin de l’oppression des milices et de la brutalité des bandes armées.

Rédaction.

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